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| Sujet: (m) avan jogia - libre Lun 28 Déc - 17:40 | |
| nayan nom avan jogia | @crédit nom complet + nayan, pour les besoins du bottin, après le prénom et le nom sont négociables, qu'ils soient indiens ou pas c'est selon ce que tu préfères âge, date de naissance + entre 23 et 25 ans (sachant qu'Avan est âgé de 23 ans, mais qu'il fait quand même un peu plus). origines, nationalité + j'aimerais beaucoup qu'il soit d'origine indienne, ça rajoute un peu d'exotisme à ce personnage, après, qu'il y soit né ou non, c'est ton choix mon petit loukoum. situation amoureuse + au choix. métier + il vient de finir ses études dans le domaine de ton choix situation familiale + au choix. avatar + un de mes dieux, le bel Avan Jogia
just a little more ⌂ l'histoire globale de ce personnage est libre, tu peux en faire ce que tu veux, mon petit chat je tiens juste à ce que les points suivants soient respectés, parce qu'ils sont en liens avec la relation qu'il entretient avec ma petite gabriella.
⌂ s'il n'est pas originaire de cape hollow, il y est arrivé en tout cas avant l'âge de douze ans, c'est à ce moment là qu'il a rencontré gabby. ⌂ après les multiples échecs de confessions envers gabriella et également aussi pour son avenir, il a décidé de partir faire des études en angleterre. (il y a minimum trois ans) ⌂ il est comme qui dirait obligé de revenir dans la ville parce son père est actuellement sur un lit d'hôpital après un accident et personne n'est sûre de son état pour les mois à venir. il vient d'arriver et n'est pas encore décidé à aller voir gabriella pour lui annoncer son retour.après, niveau caractère, Nayan est le type de garçon très franc, droit dans ses bottes, qui ne passe par quatre chemins pour dire les choses, ce qui le péjore un peu parce que parfois ça fait mal. doux, charmant, consciencieux, parfois un peu entêté, agressif ou violent quand on s'en prend aux personnes qu'il aime. cultivé, curieux de tout, un peu aventureux, le parfait petit explorateur. aime faire la morale quand il est nerveux, un peu trop grande gueule. (caractère que tu peux étoffer, modifier un peu, selon ta convenance) written in these walls are the stories that I can't explain gabriella, c'est le bel oiseau fragile, encore délicat. le doux moineau qui découvre la vie à chaque pas. cette petite fille les larmes aux yeux qu'il a découvert dans cette cour d'école, un beau jour. et sans savoir réellement pourquoi, il s'est senti le besoin d'aller vers elle, de protéger ce petit être sans défenses qui appelait son coeur. une amitié solide, un besoin de l'autre. il était son guide, son sauveur, son ange gardien, celui qui venait réparer les fautes derrière elle. elle ne s'est jamais compris cette attachement puissant pour ce garçon. bien qu'il ai toujours causé un certain trouble chez elle, avec son regard, ses manières presque jalouses parfois. comme si elle n'était rien qu'à lui. après, elle pouvait le comprendre, ils avaient toujours eu cette exclusivité, étant enfants. mais il est parti, quand elle a réussi son diplôme en littérature. étudier ailleurs, loin d'elle. la déchirure, le drame, la tristesse qui s'en suivit. elle s'est reconstruite doucement, après. n'oubliant jamais ce visage aux tracés persans. il est parfois dans sa tête, à chaque fois qu'elle a tenté en vain de s'approcher d'un homme. avec cette morale qu'il dispensait sans compter. il lui manque terriblement.
de son côté, nayan a décidé de continuer ses études ailleurs pour s'ouvrir au monde mais également pour essayer de se détacher de cette obsession qui devenait malsaine, envers gabby. cette meilleure amie d'enfance, ce poussin fragile à protéger sans cesse, dont il fallait panser les blessures et les peines. essayer de faire une pause, de réfléchir, de voir si ce n'était pas leur proximité constante qui l'avait fait développer ces sentiments et ce désir pour la jeune femme. les années passent mais ce visage aux yeux lagon, au sourire éclatant ne partent pas, pas vraiment. il a bien essayé d'aller voir d'autres courbes, d'embrasser des lèvres diverses et variées, de s'oublier dans d'autres bras. mais elle est toujours quelque part, dans sa tête. il a bien essayé de lui avouer ses sentiments, nombre incalculable de fois. toujours des échecs, des situations foireuses, coupé dans son élan par le destin. il a beau essayé, il est resté le meilleur ami. alors il est parti. et maintenant qu'il est obligé de revenir, tout va changer. il est bien décidé à lui montrer qu'il peut être autre chose, finalement. - extraits de ma fiche de présentation:
galanthus nivalis ⌂ elle est délicate, avec ses lèvres en pétales de roses, ses boucles qui reposent sur ses frêles épaules, son regard fuyant, presque lointain. elle est seule, terriblement seule, assise sur ce banc, à regarder les autres se poursuivre, s'attraper, se brouiller, se rabibocher. gabriella l'effacée, la discrète, celle qu'on ne remarque pas, celle qui paraît presque intangible. un coup dans le dos et elle s'écroule, comme un château de cartes, terriblement fragile. « pousses-toi, c'est notre banc. » prostrée sur le sol, quelques perles glacées aux coins de ses yeux baissés. trop faible, trop petite, trop gentille. elle ne prend pas la peine de se relever, de s'épousseter, de faire quelque chose. ça ne rime à rien. une ombre sur son visage et elle relève la tête. une main tendue, paume face au ciel. une chair tannée, plus foncée que le laiteux de la sienne. « pourquoi tu restes par terre ? » le rose aux pommettes, action mécanique face à la douceur d'autrui, face à la compréhension, la compassion ? elle tend son bras, tête vers le sol, comme toujours. fuyante, posant des barrières, gênée, mal à l'aise. elle ne se rend même pas compte qu'elle est menée ailleurs, sur un support beaucoup plus confortable. de l'herbe chaude et moelleuse, un regard brun qui l'observe sans relâche, venant rajouter au brasier qui occupe ses joues. « pourquoi tu n'as rien dit aux garçons ? tu étais là avant. » un sanglot, un frémissement, les perles qui roulent. qui dévalent les vallons de son visage pour se perdre au coin de ses lèvres. une présence chaude et rassurante contre sa main, une autre dextre qui serre la sienne. une silhouette apparue de nulle part, pour réconforter sa peine, pour la confronter au monde. ce visage aux aspects de mille et unes nuits, au sourire rassurant. « il ne faut pas te laisser faire, tu sais ? tu as le droit au banc aussi. » cette main chaude qui envoie des pulsations dans son bras, dans son coeur. ce regard perçant, qui semble pouvoir sonder l'entièreté de son âme. elle sanglote encore, les lèvres tremblantes. « je ne sais pas. je, je- » les relations avec les autres, ce n'est pas son terrain. elle préfère les fleurs, les livres, le soleil, aller regarder les papillons. c'est difficile de faire face à quelqu'un d'inconnu, c'est comme perdre ses repères. « je suis là, je vais te protéger. » des paroles qui ne semblent pas inconnues, qui tirent des souvenirs, des visages. les garçons munroe, les hommes qui veillent à son bien être. qui ont déjà été confrontés à la bagarre pour la protéger, elle. elle ne sait pas d'où il vient, ce qu'il fait là, pourquoi est-ce qu'il a posé son dévolu sur elle. mais cette sensation d'avoir quelqu'un qui vous défendrait au péril de votre vie, cette sensation d'avoir un ange qui veille, pas à pas, main dans la main.
aquilegia cultivars ⌂ des éclats de rires, des sourires à la pelle, des discussions qui viennent rajouter au brouhaha infernal de l'assemblée. des silhouettes qui semblent moulées dans la même fabrique avec leurs toges bleues et leurs chapeaux plats. c'est l'apothéose, le moment tant attendu. elle est debout, les bras levés pour faire signe, ses boucles désormais plus longues et virevoltant à mesure de ses petits sauts fantasques. trois années passées plongée dans les livres, les auteurs, passant d'Orwell à Huxley, de Shakespeare à Poe, de Wordsworth à Dickens. la littérature, l'éclat et l'âme des plumes d'hier, qui retombent sur celles d'aujourd'hui. elle sait d'avance que ce n'est pas ce qui rythmera ses journées à l'avenir, elle sait déjà qu'elle vivra parmi les fleurs. mais elle voulait une sécurité, une moyen de savoir qu'elle a été estudiantine, qu'elle possède quelconque papier utile en cas d'urgence. elle court, elle ne peut attendre, impatiente petite fée. elle se jette dans les bras émus des parents, les visages marqués par la félicité. la fratrie qui vient étouffer d'amour la fluette gabriella. vient en dernier, le garçon solitaire aux yeux de jais. une étreinte délicate, plus tendre, plus étrange aussi. elle préfère se murer contre son tee-shirt, les joues rouges que d'affronter son regard. celui qui a toujours été source de trouble, malgré tout. une nuitée à festoyer comme il se doit pour fêter la réussite de la jeune pousse. et lorsque la lune est à son plus haut, il est au temps des discussions. « je dois partir. » un visage qui se penche sur le côté, les sourcils froncés. « tu sais très bien que tu peux dormir à la maison...ce n'est pas maman qui va s'en formaliser, tu sais. » le faciès masculin est dur, un peu lointain. loin de la douceur habituelle, des taquineries, de cet air sérieux pour lui donner des leçons. « je dois vraiment partir, gabby. je vais aller étudier en angleterre. » stupeur. le coeur qui dérape, qui perd un battement, le temps d'un instant. les lèvres tremblantes, comme au premier jour, le regard qui ne comprend plus rien. « tu, tu t'en vas ? mais, c'est prévu depuis quand ? » il détourne son regard au loin, le visage baissé, à l'instar de la petite fille qu'il a rencontré, quelques années plus tôt. son coeur qui se serre à l'idée de le laisser partir. elle ne peut pas l'empêcher, c'est son avenir dont il convient. « je- d'accord. je ne sais pas vraiment ce que je vais faire sans toi pour me sauver de mes maladresses, mais c'est ton destin dont il est question. je- tu-, tu vas me manquer. » un corps qui percute le sien assez vivement pour qu'elle en perdre le souffle quelques secondes. serrée à s'en détacher des vertèbres, écrasée contre cette chaleur familière, réconfortante. « je t'aime, gabby. » elle est douce, gabriella, elle est tellement naïve. elle ne se rend pas compte, au fond. « moi aussi je t'aime, tu sais. t'es mon meilleur ami, non ? même si tu m'abandonnes un moment, tu reviendras ? » un rire, presque désespéré qui s'échappe de la gorge du jeune homme, voilà qu'il recule. il s'approche et dépose ses lèvres sur le front dégagé de la jeune plante. un baiser papillon, doux et éphémère, comme son sourire qui revient quelque secondes. « je reviendrai, je t'en fais la promesse. ma jolie rose sans épines. »
- (exigences):
bonjour, bonsoir, bonjoir je ne vais pas être très longue sur les exigences, ce n'est pas vraiment utile l'avatar est très difficilement négociable parce que j'avais avan très précisément en tête quand j'ai crée le scénario après, si VRAIMENT VRAIMENT il ne te plaît pas mais que tu aimes le scénario, je peux faire des concessions tout ce qui n'est pas indiqué est libre, on peut également voir ensemble si jamais tu as un quelconque problème, soucis, doute, etc je vais te vénérer à jamais si tu prends nayan, je t'aime déjà d'amour d'avance je te promets des rps de folie et un lien qui va envoyer du pâté
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